EVALUATION DE L'INTEGRATION DES TIC DANS L’EDUCATION

Publié le par SAHA

CONCEPTS LIES

Intégrer les TIC dans l’éducation

Contexte d’intégration

Indicateurs de jugement

Fiche/grille d’évaluation

Contenu

INTRODUCTION.. 2

1.      Intégrer les TIC dans l’éducation. 4

1.1.       Enjeux liés l’évaluation de l’intégration des TIC dans l’éducation. 4

1.2.       Intégrer  les TIC dans l’éducation. 4

1.3.       Notion de Contexte  d’intégration. 6

1.4.       Les niveaux d’intégration des TIC dans l’éducation. 6

1.4.1.         Approche systémique d’intégration des TIC. 6

1.4.2.         Niveaux locaux d’intégration des TIC. 8

2.      Indicateurs de jugement. 10

2.1.       Indicateurs d’intégration des TIC dans l’éducation. 10

2.2.       Contextualiser les indicateurs. 10

 

INTRODUCTION

 

Les technologies de l’information et de la communication ont pris racine dans la quasi-totalité des activités humaines du millénaire actuel. Le domaine de l’éducation n’en est pas du reste. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle certains acteurs de ce domaine ont créé le sigle TICE (Technologie de l’Information et de la Communication pour l’Enseignement) afin que le grand domaine de l’éducation se l’approprie. Plusieurs Etats aujourd’hui  investissent des sommes considérables dans la promotion et l’intégration des technologies de l’information et de la communication dans leur système éducatif. Ils partent du principe selon lequel  les TIC sont mis à la disposition de la pédagogie, elles « permettent d’apprendre, de comprendre, d’entreprendre, de motiver, de partager, d’interagir, de communiquer, d’échanger, de collaborer, d’exposer, de s'approprier et de construire le savoir, bref d'améliorer la qualité et le rendement du processus éducatif » INBMI (2009). Ces derniers expriment ainsi leur désir d’améliorer l’efficacité mais surtout l’efficience de leurs  systèmes d’enseignement apprentissage CLEARY et Al. (2008).

Le Cameroun a initié en 1998 un processus d’intégration des TIC dans son système éducatif. Ceci est passé par l’élaboration de sa stratégie d’intégration, de la création des centres de ressource multimédia dont les premiers ont vu le jour en 2001,  de création et de l’intégration dans les curriculum de formation du MINESEC de la discipline informatique en 1998,  de la création des filières de formation des enseignants d’informatique dans les Ecoles Normales Supérieure depuis 2008, de la création des filières Technologie de l’Information dans certains établissements depuis 2011 etc. Le succès de cette intégration passe entre autre par l’évaluation des processus mis sur pied. Il est donc nécessaire qu’a un moment donné, un halte soit effectué et donne l’occasion aux acteurs du système éducatif  d’analyser et d’évaluer cette intégration qui bouscule les habitudes. Comme le dit TCHAMENI (2007),  l’évaluation de l’intégration des TIC dans le système éducatif est une des « variables de durabilité de ce processus ».

Ce cours donne l’occasion aux acteurs du système éducatif et notamment aux inspecteurs pédagogiques la possibilité d’acquérir des compétences en matière de conception des fiches d’évaluation d’intégration des TIC dans la perspectives de pouvoir porter des jugements sur les processus en cours. Il est donné aux apprenants la possibilité de mesurer les enjeux de l’évaluation de l’intégration des technologies dans l’éducation, de définir une échelle des niveaux d’intégration des technologies dans un contexte local, d’identifier les indicateurs contextuels de jugements par rapport à l’intégration des technologies, d’acquérir une méthodologie de conception des fiches d’évaluations.

Dans cette section, vous aurez l’occasion d’identifier les enjeux de l’intégration des TIC dans l’éducation, ce que représente intégrer les TIC dans l’éducation ; vous apprendrez ce que représente un contexte d’intégration des TIC ainsi que quelques échelles de classification d’intégration des TIC.

1.1.          Enjeux liés l’évaluation de l’intégration des TIC dans l’éducation

Situer les institutions éducatives sur une échelle d’intégration des TIC doit reposer sur les enjeux suivant :

-          Réorganiser les politiques de déploiement des enseignants d’informatiques ;

-          Réduire la fracture numérique au sein du personnel enseignants ;

-          Contrôler l’appropriation par les enseignants des nouvelles approches pédagogiques (approche par situation problème, approche par redécouverte etc.) ;

-          Encadrer la diversification des pratiques pédagogiques ;

-          Suivre  l’avancement des connaissances technologiques des enseignants ;

-          Réorganiser les investissements en matière de technologie éducatives ;

-          Revoir les programmes de formations et évaluer les opportunités de formation continue des enseignants ;

-          Exploiter convenablement les enseignants dont les habilités à développer des expériences d’apprentissage signifiantes pour les élèves intégrant une utilisation efficace de technologies sont prouvées ;

-          Identifier les bonnes pratiques de gestion et de pilotage de l’innovation afin d’en faciliter le transfert.

D’une manière globale, il s’agit de mesurer l’impact des Technologies sur l’éducation et d’en tirer des conséquences. Ceci passe par une bonne connaissance de ce que représente intégrer les Technologies dans l’éducation.

1.2.          Intégrer  les TIC dans l’éducation

L’intégration des TIC dans l’éducation se situe entre 3 approches institutionnelles qui peuvent pour certains auteurs s’entremêler.  Intégrer les TIC dans l’éducation revient ainsi à :

-          Enseigner les TIC comme discipline ayant son propre contenu et son registre de compétence qu’il faut maitriser ;

-          Utiliser les TIC comme outils transversaux qui doivent être intégrés à toutes les disciplines et ainsi faire partie de toutes les discipline (les TIC deviennent ainsi un outil au service de la pédagogie) ;

-          Utiliser les TIC pour organiser, gérer et faciliter le fonctionnement du système éducatif.

Introduire les TIC dans l’éducation est cependant un processus complexe qui exige une planification et le développement d’une stratégie appropriée. Roblyer (figure 1) propose un modèle en cinq étapes qui à notre sens semble assez approprier pour notre contexte (le Cameroun). Il ne s’agit pas d’introduire le TIC comme un effet de mode mais parce qu’il y a des avantages, parce que l’on peut établir des objectifs et des mécanismes de contrôles. Ce  cours se situe au niveau de l’étape 5 du modèle de  Roblyer.

 

Figure 1 : Modèle basé sur le Technology Integration Planning (TIP)

Les approches d’intégration des TIC sont diverses et doivent principalement prendre en compte le contexte d’addition des technologies. L’une de ces approches est celle proposé par Charlier,  Daele  et  Deschryver  (2002) : l’approche recherche – action – formation suivant  laquelle « la recherche aide à réguler  la  formation,  qui  elle-même  sert  de support  à  la  recherche.  La  formation  sert  de support à l’action des enseignants en formation, celle-ci  est  analysée lors  de  la  formation » (propos de ces auteurs).

1.3.          Notion de Contexte  d’intégration

Globalement, la notion de contexte renvoi à l’ensemble de facteurs qui entoure un fait et qui détermine son sens ou sa valeur. Le contexte d’intégration devient donc l’ensemble des facteurs susceptible de favoriser ou de nuire à l’épanouissement d’un apport extérieur. L’apport extérieur étant dans le cas d’espèce les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC).

Dans le contexte d’intégration, les facteurs contextuels peuvent êtres humains, infrastructurelles et géographiques ou organisationnels. Du point de vue humaine, nous pouvons par exemple citer les caractéristiques individuelles des acteurs en présence, le niveau d’alphabétisation au numérique, la disponibilité des enseignants  d’informatique etc. Du point de vue infrastructurel et géographique, nous pouvons par exemple citer la disponibilité des ordinateurs, des salles informatiques, des CRM, des routes d’accès aux établissements, du courant électrique etc. Du point de vue organisationnel, nous pouvons citer l’élaboration d’une stratégie locale d’intégration  des TIC dans les établissements, le pilotage du projet informatique etc.

1.4.          Les niveaux d’intégration des TIC dans l’éducation

Plusieurs classifications en niveaux d’intégration des TIC dans l’éducation existent. La plus connu est cependant l’approche systémique de l’innovation déjà formalisé par DEPOVER et STREBELLE (1997).

Cette approche identifie trois niveaux qui sont : l’adoption, l’implantation et la routinisation.

a.      Niveau 1 – adoption

Ce niveau décrit globalement un contexte dans lequel les acteurs en présence ont décidé de changer leur pratique soit par volonté personnelle, soit par impulsion et contrainte extérieure. Les acteurs de ce niveau d’intégration ont fortement recours à des aides extérieures pour garantir le succès de leurs projets.

Exemple1.

Un  établissement dans lequel le chef d’établissement décide d’introduire l’informatique au programme uniquement parce que la hiérarchie décide d’adjoindre une épreuve d’informatique au Baccalauréat.

 

Exemple 2.

 Un  contexte dans lequel les enseignants décident d’utiliser des ressources pédagogiques multimédia dans leurs cours.

 

b.      Niveau 2 – implantation

Ce niveau décrit un contexte dans lequel se concrétise véritablement  la décision préalablement prise en phase d’adoption. A ce niveau, on observe généralement une véritable modification des pratiques éducatives. Les acteurs de ce niveau d’intégration se passent progressivement de l’aide des acteurs extérieurs et acquièrent progressivement une autonomie dans la conduite de leurs projets pédagogiques en matière de TIC.

Exemple.

Un établissement dans lequel les enseignants se rendent constamment au CRM et travaille de concert avec les responsables de CRM pour acquérir des  ressources pédagogiques multimédia en rapport avec leur discipline. Ils utilisent ensuite cette ressource  en cours comme véritable support à la formation.

 

 

c.       Niveau 3 – routinisation

 Ce niveau identifie un contexte dans lequel l’utilisation des TIC est une réalité  absolue. Les acteurs de ce niveau font usage des technologies de l’information et de la communication comme ils feraient usage du stylo à bille. Le recours aux acteurs externes est inutile et les enseignants intègrent les technologies dans leurs pratiques de  manière régulière sans véritables difficultés.

Exemple 1.

Un établissement dans lequel est déployé un ERP à caractère éducatif. Ceci est utilisé sans difficulté par tous les acteurs du système éducatif (parents, élèves, responsables administratifs, responsables pédagogiques ; enseignants ; animateurs de la vie scolaire etc.)

 

Exemple 2.

Un établissement dans lequel tous les enseignants utilisent aisément internet et y ont recours plusieurs fois par semaine.

 

Cette classification pose cependant un problème dans un contexte où les TIC sont quasiment inconnus dans certaines zones géographiques (cas du Cameroun). Il est dont primordiale d’établir une classification qui répondrait aux exigences locales.

Dans le cadre de ce cours, nous proposons une classification sur 5 niveaux d’intégration des TIC dans l’éducation. Il s’agit des niveaux de sensibilisation et de découverte, de familiarisation, d’exploration, d’adoption, de routinisation ou d’exemplarité.

a.      Niveau 1 - Sensibilisation et découverte

C’est le niveau où les enseignants ou les élèves, même s’ils n’utilisent pas les TIC dans leurs pratiques, ils sont sensibilisés de ce que ces outils existent. La sensibilisation peut ainsi être directe ou indirecte. Elle est directe lorsque des descentes ou des campagnes sont menées de manière traçable auprès des acteurs de l’éducation pour éveiller en eux une prise de conscience en matière d’existence des outils TIC. Elle est cependant indirecte lorsque c’est la force de la modernisation (la société en mouvement, la société de l’information) qui vient à sensibiliser les acteurs de l’éducation. Les acteurs à ce niveau sont sensibilisés au fait que l’on ne peut pas faire fi des outils technologiques à l’école. L’enseignant par exemple est encore désemparé par rapport à l’intégration des outils technologiques dans sa classe. Pour ce dernier, il faut tabler sur la motivation, l’obligation (ce cas pouvant prendre plus de temps) ou lui offrir des occasions.

b.      Niveau 2 - Familiarisation

Ce niveau se traduit par l’usage de temps en temps des outils technologies par les acteurs de l’éducation. Dans le contexte d’une absence préalable de l’existence des outils TIC, ce niveau se caractérise par la rupture progressive de la frayeur à l’endroit de l’ordinateur, au dépassement du mythe et conduit continuellement vers l’appropriation. Ce niveau est également marqué par le besoin de compromis et exige la mise en place des rudiments techniques chez les différents acteurs.

c.       Niveau 3 - Exploration

A ce niveau, les différents acteurs cherchent déjà quel est l’outil qu’ils peuvent utiliser dans telle ou telle situation. Les enseignants proposent aux apprenants des activités intégrant le TIC ou tout au moins ceux qui en font usage. Les responsables des établissements recherchent les outils TIC susceptibles de favoriser leurs pratiques de gestion.

d.      Niveau 4 - Adoption

A cette niveau, l’utilisation d’outils technologiques devient régulière bien que restreinte à l’école. La gestion est faite par les outils TIC, les scénarios pédagogiques intègrent les TIC, l’enseignement de l’informatique est accepté par la majorité. Une certaine stabilité se présente progressivement.

e.       Niveau 5 - Routinisation  où exemplarité

L’utilisation des outils ne se résume plus uniquement à l’école mais les acteurs du système intègre dorénavant les outils technologies dans toutes leurs pratiques (à la maison, dans les pratiques professionnelles parallèles, dans les pratiques individuelles etc.). L’atteinte d’une stabilité est observée et la créativité et l’imagination des acteurs leur permettent d’aller plus loin.

Le classement des différents établissements ou des différents systèmes éducatifs passe par la maitrise d’un certain nombre d’indicateurs.

La prise de décision par rapport à l’intégration des TIC dans l’éducation passe nécessairement par la maitrise d’un certain nombre d’indicateurs. Dans cette section, vous aurez l’occasion d’identifier ou de retrouver des indicateurs de jugement mais surtout de contextualiser d’éventuels indicateurs.

2.1.          Indicateurs d’intégration des TIC dans l’éducation

Plusieurs indicateurs permettant de mesurer le niveau d’intégration des TIC dans l’éducation ont été définit par l’UNESCO, les organismes internationaux ainsi que les chercheurs  œuvrant dans l’intégration des technologies dans l’éducation. L’Union International des Télécommunication (UIT, 2005) propose une série de 23  indicateurs (cyber indicateurs) qu’elle regroupe en 6 catégories (services universel, accès universel, entreprise, enseignement, administration publique, Digital Acces Index-DAI) qui permettent de mesurer l’intégration des TIC aux niveaux nationaux. L’UNESCO (2010) quant à elle propose une « série plus étendue d’indicateurs comparables entre pays sur l’utilisation des TIC dans l’éducation et fournit des définitions normalisées des concepts fondamentaux, des spécifications détaillées de mesure et des explications pratiques concernant l’interprétation des indicateurs.».  Il s’agit d’indicateurs dont les valeurs quantitatives peuvent être directement recueillit lors des enquêtes sociaux, à travers des documents administratifs de définition des politiques éducatives ou administratives. Le tableau 6 (page28) du document intitulé « UNESCO_DOC_EDUCATION » présente en totalité ces indicateurs ainsi que leurs spécifications et les méthodologies de collecte des données. Dans cette formation, les principaux indicateurs sur lesquels nous nous centrerons pour évaluer le niveau d’intégration des TIC dans l’éducation seront soit choisis de manière autonome soit issus du référentiel d’indicateurs de l’UNESCO (document dénommé UNESCO_DOC_EDUCATION)  qu’il faudra bien entendu contextualiser. Quelque soit le choix effectué pour les indicateurs, ils doivent répondre à la réalité locale que l’on veut observer.

2.2.          Contextualiser les indicateurs

« Les pays qui en sont encore au début de l’introduction des TIC dans l’éducation n’ont pas les mêmes besoins d’information que ceux qui ont une plus grande expérience en matière de TIC », tel est l’affirmation de l’UNESCO en matière d’évaluation de l’intégration des TIC dans l’éducation pour les pays dont la pénétration des TIC dans leurs institutions n’est que dans ses phases initiales. La contextualisation des indicateurs de mesure d’intégration des TIC est donc indispensable dans ces cas de figure. Elle exige non seulement de prendre en compte le contexte local dans lequel ces derniers permettront d’émettre des jugements mais surtout de prendre en compte leurs spécifications et les méthodes de collecte des données qui favorisent leur alimentation. En ce qui est du contexte local, nous retiendrons pour chaque établissement les dimensions décrites dans le tableau suivant :

Dimensions

Descriptions

Infrastructure

Disponibilité des infrastructures routière pour l’accès aux établissements, des salles informatiques,  des ordinateurs, de l’énergie électrique etc. Prise en compte de la qualité et de la quantité des infrastructures

Programmes

Mesure l’adaptation du programme de formation au contexte local. Est-ce que le niveau des apprenants est en cohérence avec le programme. Diversité des méthodes d’évaluation des apprenants. Evaluation au niveau individuelle de la maitrise de la didactique de la discipline informatique. Evaluation de la pratique pédagogique (méthode d’enseignement, modèle pédagogique). Cohérence  dans la conception des programmes officiels, le cursus de formation,  la formation et l’accompagnement des personnes ressources.

Formation

Evaluation des compétences disciplinaires et pédagogiques des enseignants. observation de des systèmes de formation continue et initiale. Observer la manifestation des enseignants de s’auto former,

Politique

Cohérence  entre les approches aux niveaux macro (Ministère et établissements sous tutelle), méso (DRES, DDES, etc.) et micro (établissements, organismes locaux de la société civile, etc.) 

Observer l’adaptabilité de la stratégie d’intégration au contexte, l’application et l’applicabilité des décisions ministérielles ;

Observer l’ouverture de l’établissement aux partenariats ;

Gestion

Observer le changement de pratique de gestion ; l’évolution du leadership

Utilisation

Observer le changement de pratiques pédagogiques ; la modification des pratiques d’apprentissage (autonomie dans l’apprentissage) ; utilisation d’internet ; la disponibilité des ressources pédagogiques locale (production ou acquisition) ;

Observer le partage linguistique (anglais, français) ;

Projets et  innovation

Les institutions initient-ils localement des projets intégrants les TIC ? intègrent-ils les TIC dans leurs projets ? comment accompagne- t-on  l’innovation dans l’établissement ? initie – t – on des projets en direction des TIC.

Transversalité

Tous les enseignants intègrent-ils les TIC dans leurs enseignements ? une politique est-elle mise sur pied pour guider les enseignants non informaticien dans ce sens ?

Tableau1. Dimensions observables dans la mesure du niveau d’intégration des TIC dans les établissements scolaire

Il faut cependant préciser que ces différentes dimensions ne doivent pas obligatoirement être observées dans tous les établissements. Il est aussi à noter que les indicateurs proposés pour évaluer l’intégration des TIC dans l’éducation sont en nombre très important et il serait pratiquement difficile de construire une grille permettant d’alimenter tous les indicateurs. L’UNESCO propose par exemple une cinquantaine d’indicateur (2010) permettant d’évaluer l’impact des TIC dans l’éducation.

Exemple.

L’indicateur rendement des enseignants en matière d’intégration  des TIC dans un établissement est un indicateur fort intéressant mais pourtant pas inscrit dans le registre des indicateurs de l’UNESCO.

 

 

Publié dans TIC et Pédagogie

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